Pour un développement de la distinction entre « moment gnosique » et « moment pathique », se reporter en particulier à l’article d’Erwin Straus Les formes du spatial (op.cit.).
Comme l’indique Maldiney (1973, op. cit.), la pensée de Straus « commence là où finit l’analyse intentionnelle de Husserl, à cette hylétique qu’il a nommée sans pouvoir l’édifier ». Pour une présentation synthétique de cette question, se reporter à Gennart, M. (1986) Une phénoménologie des données hylétiques est-elle possible ? Etudes Phénoménologiques. n° 4, pp. 19-46.
[36] Barbaras, R. (1999) Affectivité et mouvement : le sens du Sentir chez E. Straus. Alter. Revue de Phénoménologie. n°7, pp. 15-29.
[37] Pour un développement de la distinction entre « moment gnosique » et « moment pathique », se reporter en particulier à l’article d’Erwin Straus Les formes du spatial (op.cit.).
[38] Straus, E. (1989) Du sens des sens. Grenoble : Jérôme Million.
[39] Comme l’indique Maldiney (1973, op. cit.), la pensée de Straus « commence là où finit l’analyse intentionnelle de Husserl, à cette hylétique qu’il a nommée sans pouvoir l’édifier ». Pour une présentation synthétique de cette question, se reporter à Gennart, M. (1986) Une phénoménologie des données hylétiques est-elle possible ? Etudes Phénoménologiques. n° 4, pp. 19-46.